Selon les États-Unis la moitié des morts sont de Wargner. Cependant les chiffres de l’Ukraine n’ont pas été rendu publique, estimant que ce sont eux les victimes, pas les agresseurs et c’est à eux de dévoiler leurs chiffres.
Les services secrets américains ont donné les chiffres le 1er mai sur les pertes russes, et les chiffres sont énormes.
« Depuis décembre, nous estimons que la Russie a compté plus de 100 000 combattants tués ou blessés, dont 20 000 morts au combat », a annoncé John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche pendant une conférence de presse.
Il a précisé que le groupe Wagner comptait la moitie des morts sur les chiffres donnés, et étaient pour la plupart des anciens prisonniers jetés au combat sans aucun entrainement ni commandement réel.
« La conclusion est que l’offensive de la Russie s’est retournée contre elle », a assuré John Kirby. Par ailleurs le Kremlin a rejeté ses chiffres pour eux sortis de nul part, rapporte le Guardian. Comme le rappelle le quotidien britannique, les dernières données révélées par le ministre de la Défense Sergueï Choïgu datent de septembre dernier. Il estimait à 5 937 le nombre de soldats morts.
Le renseignement britannique estime un peu plus de 100000 soldats russes mort sur le front et la moitié pour ceux ukrainiens en février. L’Ukraine veut donc mener une contre offensive contre l’armée russe a l’est du pays, et libérer les 20% de son territoire détenu par cette dernière.
Pour libérer le territoire perdu, l’Ukraine assure avoir formée des brigades, et stockée des munitions, afin d’épargner ses troupes et, épuiser celle de son adversaire.
Les combats sont concentrés ces dernières semaines à Bakhmout, et les combattants ruses ont fortement progressé dans le centre de la localité, et affirment détenir les 90% de la localité complètement en ruine.
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