Des experts en sécurité soupçonnent la Corée du Nord d’avoir planifié la cyber attaque de la semaine dernière.
Des codes informatiques utilisés dans d’autres cyberattaques reprochées à la Corée du Nord ont été identifiés.
Mais certains analystes restent encore prudents en attendant la confirmation de ces soupçons.
Il est « trop tôt » pour spéculer sur les auteurs de cette cyberattaque non revendiquée, a estimé mardi le porte-parole d’Europol Jan Op Gen Oorth, « l’investigation est en cours ».
Selon l’Office européen des polices, le nombre d’adresses IP infectées dans le monde a reculé de 38% par rapport à dimanche, à 165.000 mardi matin contre 226.800 dimanche.
Le virus exploite une faille dans les systèmes d’exploitation Windows du géant américain Microsoft, décelée depuis longtemps par la NSA (l’agence de sécurité nationale américaine) avant de tomber dans le domaine public via des documents piratés au sein de la NSA.
On estimait à plus de 300.000 le nombre d’ordinateurs infectés dans quelque 150 pays.
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