Source: africanews
le 15 avril dernier et plus de 2 500 ont été blessés. Les ressortissants étrangers ont été rapatrié pour la plupart dès les premières semaines du conflit mais des millions de civils restent piégés par les échanges de tirs.
Pour ceux qui ont réussi à s’en sortir, l’accès aux soins n’est pas garanti.
Le conflit aurait déplacé 330 000 personnes à l’intérieur du pays et 100 000 autres vers les pays voisins, selon l’Agence des Nations-unis pour les réfugiés.
À la frontière entre le Soudan et le Tchad, des centaines de réfugiés affluent, réduit à faire la queue pendant des heures pour un morceau de pain, en attendant d’être logés.
« Le HCR est en train d’identifier des sites éloignés d’ici, à au moins 50 kilomètres, pour reloger les personnes qui se trouvent à la frontière, de manière à ce que le risque d’insécurité soit au moins résolu, mais aussi pour leur fournir une assistance, » explique Brice Degla, coordinateur principal des urgences du HCR au Tchad.
Selon les Nations unies, il faudrait près de 445 millions de dollars pour venir en aide aux réfugiés de la crise politique soudanaise.
Une cargaison d’aide en provenance de Dubaï est en route, un début, selon l’Agence des Nations-unis pour les réfugiés, qui craint le pire.
Les pourparlers, plaidoyer de l’Union Africaine et autres menaces de sanctions des États-Unis n’ont eu aucun impact sur les belligérants qui semblent être très loin de baisser les armes et encore moins d’un accord de paix.
Le titre par la rédaction
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