Une dizaine d’activistes anglophones, arrêtés au tout début de la crise sociopolitique qui secoue les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, étaient ce vendredi au tribunal militaire de Yaoundé. Ils sont jugés entre autres pour des faits d’hostilité contre la patrie, révolution, terrorisme et même assassinats. Des faits graves, pour la plupart, passibles de la peine capitale, selon le Code pénal camerounais. A l’audience, les plaidoiries des avocats de la partie civile et les réquisitions du ministère public ont été sans pitié.
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