Quatre jours après l’adoption d’une réforme constitutionnelle qui pourrait permettre au président Nkurunziza de rester quatorze ans de plus à la tête du pouvoir burundais, le Conseil de sécurité s’est réuni hier sur cette crise. L’envoyé spécial de l’ONU, Michel Kafando, a lancé un appel à la reprise du dialogue interburundais, seul moyen, selon lui, de mettre un terme à la crise que traverse le pays depuis 2015. Mais les diplomates sont apparus profondément divisés sur la marche à suivre afin de stabiliser le pays.
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