Lors d’un sommet au Kenya , l’ex Premier ministre s’est prononcé sur le conflit qui mine son pays depuis un certains temps et a souligné clairement que ce dernier pourrait être le plus pire de toute l’histoire des guerre civiles au monde, plus pire que la Libye et la Syrie s’il n’est pas arrêté.
M. Hamdok appelle donc la communauté internationale à résoudre le chef de l’armée soudanaise Abdel Fattah Al-Burhan et le chef de l’armée rivale Mohamed Hamdane Daglo à entamer des négociations de paix. Il a ainsi souligné que, sans un accord de paix, l’extension et l’ampleur du conflit entre les deux armées pourraient fortement affecter l’ensemble de la région, ainsi que le monde.
Dans ce message diffusé sur son compte Twitter, l’ancien Premier ministre soudanais déplore une « situation catastrophique » qui pourrait faire régresser le pays dans ses efforts de construction d’une démocratie durable.
En plus de l’exode massif des étrangers et du personnel international, quelque 75000 personnes ont été déplacées par les combats a Khartoum selon les Nations Unies.
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