La demande émane de la famille de Thomas Sankara. Elle avait émis des réserves sur les premiers examens.
« Trois familles parmi lesquelles celle de Thomas Sankara avaient émis des réserves sur les expertises des tests ADN et ont demandé conformément à la loi des contre-expertises. Ce que le juge a accepté en leur fixant un délai », a indiqué le parquet militaire, cité par BBC Afrique. Les corps présumés de Sankara et de ses douze compagnons ont été exhumés l’année dernière en vue de tests ADN visant à déterminer avec certitude leur identité. Pour rappel, l’enquête sur la mort de l’ex-président du Faso, Thomas Sankara, avait été ouverte fin mars 2015. Cela avait été rendu possible par la chute de Blaise Compaoré en octobre 2014, après 27 ans au pouvoir.
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