{"id":17180,"date":"2016-11-24T11:46:52","date_gmt":"2016-11-24T11:46:52","guid":{"rendered":"http:\/\/www.diaf-tv.info\/?p=17180"},"modified":"2016-11-24T11:46:52","modified_gmt":"2016-11-24T11:46:52","slug":"une-etude-sur-la-censure-des-reseaux-sociaux-le-cas-africain","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.diaf-tv.info\/une-etude-sur-la-censure-des-reseaux-sociaux-le-cas-africain\/","title":{"rendered":"Une \u00e9tude sur la censure des r\u00e9seaux sociaux : le cas africain"},"content":{"rendered":"
Les r\u00e9seaux sociaux sont de plus en plus surveill\u00e9s partout dans le monde par les autorit\u00e9s, voire censur\u00e9s: c’est la conclusion d’une \u00e9tude de l’ONG am\u00e9ricaine Freedom House, men\u00e9e dans une soixantaine de pays. En t\u00eate de ce triste classement: la Chine, la Syrie, l’Iran. L’Afrique n’est pas \u00e9pargn\u00e9e.<\/strong><\/p>\n En plus des r\u00e9seaux classiques, type Facebook ou Twitter, les applications de messagerie sont de plus en plus restreintes. C’est le cas notamment de WhatsApp, messagerie instantan\u00e9e, gratuite, adopt\u00e9e par de nombreux Africains. Les r\u00e9seaux sociaux sont souvent les uniques alternatives pour s’exprimer et communiquer. Ils sont donc dans le collimateur de certains gouvernements.<\/p>\n