Au Ghana, des organisations de défense des droits de l’homme et des familles de victimes demandent, ce mercredi, l’ouverture d’une enquête et des poursuites contre l’ancien président gambien Yahya Jammeh – aujourd’hui en exil en Guinée équatoriale – pour l’assassinat de plus de cinquante migrants ouest-africains dont 44 ghanéens en juillet 2005. Human Rights Watch et l’ONG Suisse Trial ont enquêté sur ce massacre. Leurs nouveaux éléments de preuves relancent l’affaire.
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