Au Cameroun, la Commission nationale des droits de l’homme et des libertés, la CNDHL, souhaite pouvoir rendre visite à des détenus interpellés dans le cadre de la crise anglophone, et ce conformément à son mandat et à la loi, pour s’assurer de leurs conditions de détention.
Une demande a été formulée en ce sens le 11 août, il y a plus d’un mois. Mais depuis, la Commission n’a toujours pas été autorisée à entrer dans ces lieux.
Informée par une vidéo qui faisait état de détention dans le secret de jeunes gens de la région du nord-ouest, la Commission avait décidé d’organiser une visite. (Christophe Bobiokono, de la Commission des droits de l’homme et des libertés du Cameroun)
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